L’empreinte écologique des villes : un article pour la revue Entropia (n°8)

15/03/10

« Revue d’étude théorique et politique de la décroissance ». Voilà comment se définie la revue Entropia, qui publie son huitième numéro. Au menu, un dossier sur les territoires de la décroissance. A la demande du comité de rédaction, nous avons donc rédigé un article de synthèse sur l’empreinte écologique des villes. Formes urbains, logement, déplacement : qu’est-ce qui détermine aujourd’hui l’empreinte écologique de notre aménagement du territoire ?

« Revue d’étude théorique et politique de la décroissance ». Voilà comment se définie la revue Entropia, pour laquelle nous avons rédigé un article sur l’empreinte écologique des villes. En voici l’introduction :

« L’empreinte écologique ne laisse pas indifférent. Elle est aujourd’hui au coeur de nombreuses polémiques et fait l’objet d’une littérature académique imposante. Il faut dire que cet indicateur synthétique a connu un succès spectaculaire depuis une petite dizaine d’années. A tel point qu’elle a fini par devenir une sorte de terme générique, un concept fourre-tout que la plupart des écologistes utilisent de bonne foie, mais souvent sans vraiment en connaître les tenants et les aboutissants – à l’instar de ceux qui invoquent la croissance du PIB sans savoir précisément ce que mesure ce dernier. Avant même d’évoquer l’empreinte écologique des villes, parlons donc brièvement de l’empreinte écologique en tant que telle (1) et de ses résultats (2). Cela nous permettra de mieux comprendre pourquoi la question des formes urbaines est aujourd’hui centrale dans l’optique d’une réduction de notre empreinte (3 & 4). »

Le site d’Entropia avec la présentation du n°8 « Territoires en décroissance » : c’est par là !