L’empreinte écologique, nouvelle édition

15/04/2018 – La nouvelle édition de notre ouvrage sur l’empreinte écologique est parue au printemps 2018, dans la collection Repères des éditions de La Découverte. En plus d’une réactualisation des données, l’ouvrage est composé d’un nouveau chapitre qui décrit quelques-unes des empreintes environnementales qui sont apparues dans la foulée de l’empreinte écologique : empreinte carbone, empreinte eau, empreinte azote, etc. Une manière de compléter et de préciser le panorama des enjeux environnementaux que l’empreinte écologique permettait déjà d’établir de manière très synthétique.

 

 

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Extraits de presse :

 

« L’empreinte écologique suscite un intérêt croissant (…). Le livre d’Aurélien Boutaud et Natacha Gondran vient donc à point : expliquant en termes clairs et rigoureux la méthode élaborée par Mathis Wackernagel et William Rees depuis une dizaine d’années, il est à notre connaissance la première présentation en français de cet outil essentiel. (…) Economistes écologistes, au travail ! »

Hervé Kempf, Le Monde

 

« Un petit livre (…) bien construit, bien écrit, et au final plutôt pédagogique, sur un sujet pas si facile à appréhender. »

Catherine Ducruet, Les Echos

 

« C’est un de ces « petits » livres qui sans forfanterie parle des grandes choses, de ce que l’on devrait savoir et de ce que l’on n’aurait pas du oublier : pour durer les sociétés doivent avoir un comportement soutenable. »

Bruno Clémentin, La Décroissance

 

« Heureuse surprise que ce petit livre précis et clair sur les atteintes à l’environnement et la surexploitation des ressources naturelles : il détonne avec bonheur dans le paysage éditorial actuel (…). Le vieux débat [entre économie et écologie] est toujours actuel. Mais ce livre l’installe sur des bases sérieuses. »

Pascal Acot, La Recherche

 

« Un ouvrage remarquablement bien écrit, avec une grande ouverture de pensée. »

Michel Bernard, S!lence

 

 

Quatrième de couverture :

 

Peut-on mesurer la durabilité écologique d’une nation de manière claire et synthétique ? Est-il possible, à l’instar du PIB, de résumer une réalité aussi complexe en un seul chiffre ? C’est pour répondre à ces questions que l’empreinte écologique a été inventée au début des années 1990. Mobilisant des centaines de données statistiques et scientifiques, cet ingénieux système de comptabilité a permis de démontrer que l’économie mondiale consommait davantage de services issus de la biosphère que celle-ci était capable d’en régénérer. Il a également servi à révéler les inégalités environnementales, en montrant par exemple qu’il faudrait plusieurs planètes pour répondre aux besoins de l’humanité si le modèle de consommation occidental venait à se généraliser.
Dans cet ouvrage, les auteurs reviennent dans le détail sur les tenants et les aboutissants de cet indicateur, que de nombreux écologistes ont élevé au rang de véritable totem. Ils en révèlent les forces, mais aussi les limites. Plus encore, dans cette nouvelle édition, ils montrent que la famille des empreintes environnementales s’est largement développée au cours des dernières années, permettant d’affiner notre appréhension des limites planétaires.